Madames
de Quentin Ogier
Mise en scène de Quentin Ogier
Avec Céline Bothorel (jeu / chant), Johanne Mathaly (violoncelle / arrangements)
"J´ai rêvé New York, New York City sur Hudson", le refrain de la chanson d’Yves Simon -- J’ai rêvé New York -- traduit la rencontre d'une voix et d'un violoncelle à New York, ville aux confluences musicales internationales.
Rencontre avec deux belles artistes dans la salle cabaret de l’Essaion. Madames, un spectacle à deux tons avec Céline Bothorel et à trois mouvements avec Johanne Mathaly. New York, the place where it was necessary to be to discover Madames, a french musical show."Tour, viens faire un tour" de biographie de Céline, Johanne et Quentin, les connaitre une aubaine ! Céline Bothorel a débuté sa carrière au théâtre en interprétant des rôles de grands auteurs classiques et contemporains. Un jour, elle décide d'explorer les voies de sa voix et la met à contribution dans des spectacles musicaux, toute tendance confondue. Sa panoplie artistique s'étoffe dans la réalisation de mises en scène de comédies musicales jouées par des adolescents. Elle crée des spectacles musicaux et théâtraux avant d'être engagée comme chanteuse dans de nombreux récitals en France et à l'étranger.Le duo Madames naît d'une rencontre avec Johanne Mathaly. Johanne fait corps avec son violoncelle, elle l'enlace l'archet en main et naît de cette fusion une musique minérale et soutenue. Son registre, un étal des Quatre-Saisons à Catherine Ringer. Johanne n'est pas Strauss, mais Mathaly, elle vit et respire musique sur le fil des airs du monde.Quentin Ogier, un VIP du Paf, un Véritable interpréte performant du Paysage artistique français.
Sous le t-shirt, bat le pouls d'un artiste de théâtre, de cinéma, de télévision, de composition d'images et de chanteur. C'est en 2011 qu'il se met à l'écriture de Madames, spectacle dont il assure la mise en scène.L'histoire prend source à New York. Sur un bout de macadam, s'attendent deux souffles, lesquels vont donner vie à une amitié digne de Madames.
New York, le rêve que tout artiste de la chanson française caresse dans l'intimité de se mettre à nu au Carnegie Hall. Piaf, Montand et Aznavour s'y sont osés et le public américain les a plébiscités comme jamais.
Madames, les péripéties de deux artistes françaises qui passent en revue seize chansons de l'hexagone, avant d'être placées en garde-à-vue pour une affaire proche du Pentagone.Les amoureux des bancs publics de Manhattan ont pu écouter et apprécier les standards chantés par Céline et Johanne. Au coin d'une rue ou sous une station de métro, de "Jolies mômes" s'empressent et "Vienne" (nt) découvrir le duo français. Ne rendent-elles pas hommage à John Lennon en reprenant Penny lane et You've got to hide your love away des Beatles.En prison, leurs inquiétudes s'assombrissent comme "les remparts de Varsovie". Un jour, du désespoir renaît l'espoir. Leur innocence est prouvée et "il faut tourner la page" pour oublier la lie sur laquelle reposent "les feuilles mortes".Céline Bothorel chante avec les yeux, ils brillent de mille éclats comme les sunlights éblouissant la scène du Metropolitan opera. Le violoncelle de Johanne Mathaly vibre sous l'archet et dénonce colère et incompréhension quand les doigts agitent frénétiquement les cordes.Madames n'est pas de bois, la mise en scène vit en récit, en chansons et en musique l'aventure new-yorkaise des deux artistes françaises exaltantes."Je trouve Madame(s) de circonstance", extrait de la chanson de Brel, Les Remparts de Varsovie.
Sous le t-shirt, bat le pouls d'un artiste de théâtre, de cinéma, de télévision, de composition d'images et de chanteur. C'est en 2011 qu'il se met à l'écriture de Madames, spectacle dont il assure la mise en scène.L'histoire prend source à New York. Sur un bout de macadam, s'attendent deux souffles, lesquels vont donner vie à une amitié digne de Madames.
New York, le rêve que tout artiste de la chanson française caresse dans l'intimité de se mettre à nu au Carnegie Hall. Piaf, Montand et Aznavour s'y sont osés et le public américain les a plébiscités comme jamais.
Madames, les péripéties de deux artistes françaises qui passent en revue seize chansons de l'hexagone, avant d'être placées en garde-à-vue pour une affaire proche du Pentagone.Les amoureux des bancs publics de Manhattan ont pu écouter et apprécier les standards chantés par Céline et Johanne. Au coin d'une rue ou sous une station de métro, de "Jolies mômes" s'empressent et "Vienne" (nt) découvrir le duo français. Ne rendent-elles pas hommage à John Lennon en reprenant Penny lane et You've got to hide your love away des Beatles.En prison, leurs inquiétudes s'assombrissent comme "les remparts de Varsovie". Un jour, du désespoir renaît l'espoir. Leur innocence est prouvée et "il faut tourner la page" pour oublier la lie sur laquelle reposent "les feuilles mortes".Céline Bothorel chante avec les yeux, ils brillent de mille éclats comme les sunlights éblouissant la scène du Metropolitan opera. Le violoncelle de Johanne Mathaly vibre sous l'archet et dénonce colère et incompréhension quand les doigts agitent frénétiquement les cordes.Madames n'est pas de bois, la mise en scène vit en récit, en chansons et en musique l'aventure new-yorkaise des deux artistes françaises exaltantes."Je trouve Madame(s) de circonstance", extrait de la chanson de Brel, Les Remparts de Varsovie.
Philippe Delhumeau
21/04/2013
PARIS
Lucernaire
Mise en scène de GÉrard Rauber
Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
L'avis de Yves-Alexandre Julien
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AVIGNON
Pierre de Lune
la méthode Sherlock
de Paul Spera,andrea Redavid
Mise en scène de Andrea Redavid,paul Spera
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