Le Clan des divorcées
de Alil Vardar
Mise en scène de n.c.
Stéphanie d’Humily de Malanpry, une bourgeoise qui vient de quitter un berger ardéchois décide de changer de vie en partant s’installer à Paris.
Stéphanie d’Humilly de Malanpry, bourgeoise qui vient de divorcer, se sent seule dans son grand appartement parisien et pour pouvoir y vivre, elle doit vivre en colocation. Egalement fraîchement divorcées, Mary Bybowl, une anglaise sexy et croqueuse d’hommes, et Brigitte, au physique particulier, s’imposent d’elles-mêmes. Les trois femmes n’ont pas grand-chose en commun, mais elles vont devoir partager le même appartement et une même quête : celle de l’âme sur.Une comédie écrite par un homme, Alil Vardar, à l'attention de la gent féminine. L'humour n'y est pas toujours "light" mais les répliques isolées font mouche alors que les dialogues, reconnaissons-le, sont parfois plats. Dans cette pièce, tout repose sur l'énergie, la personnalité et le bagout des personnages.En temps de crise, un joyeux divertissement ne fait pas de mal, certes. S'il n'est pas conçu pour éveiller les consciences, il procure néanmoins du plaisir, pour peu que la magie du spectacle opère. Malheureusement, la mise en scène n'évite que peu d’écueils du théâtre de boulevard. Les nombreux clichés flirtent amèrement avec un sentiment de déjà-vu.Le personnage de Brigitte est central, elle est omniprésente sur scène, mais son énergie est flottante, irrégulière, tout comme son accent du Sud, qu’elle perd à mesure que la pièce avance. Les répliques percutantes lui sont toutes dévolues sans exception. La niaiserie de ses deux blondes de colocataires n’a que pour effet d’accentuer sa présence. Néanmoins, le trio fonctionne à peu près, peut-être grâce une Mary très dynamique et vive, non d’esprit mais dans le jeu ! Cependant, parfois prête à frôler la "fausse note". Stéphanie, quant à elle, est engagée et essaie modestement d’être à ce qu’elle fait.Les dialogues consistent pour la plupart en des jeux de mots, sans trop de complexité. Après tout, dans ce genre de productions, on ne vise pas du Sacha Guitry mais un style plus soft, plus moderne aussi, pour faire oublier la semaine de boulot. La gestuelle est quant à elle efficace. Quelques pauses sauront déclencher les rires sans réplique. A noter, une intéressante trouvaille : Brigitte allume un gigantesque poireau et entreprend de le fumer ! Cette pièce détend par moment les zygomatiques mais il ne faut pas attendre un jeu exceptionnel des comédiens. C’est dommage car d’autres acteurs jouant la même pièce, au même endroit, il y a quelques années, nous avaient fait nous tordre de rire !
Aurore Lavidalie
26/02/2014
PARIS
Lucernaire
Mise en scène de GÉrard Rauber
Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
L'avis de Yves-Alexandre Julien
Lucernaire
PARIS
"Come Bach" : Un quatuor virtuose qui réinvente les classiques
de Gérard RauberMise en scène de GÉrard Rauber
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Lucernaire
"Come Bach" : Un quatuor virtuose qui réinvente les classiques
de Gérard Rauber
Mise en scène de GÉrard Rauber
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PARIS
Théâtre Poche Montparnasse
Entre scandale et subtilité : les Diaboliques à la barre
de Christophe Barbier D'Après Jules Barbey D'Aurevilly
Mise en scène de Nicolas Briançon
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PARIS
A la galerie Hélène Aziza
La folle passion de Franz Liszt et Marie D’Agoult
de Pierre Bréant
Mise en scène de Philippe Mercier
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