LES CHRONIQUES DU FESTIVAL D'AVIGNON 2019
Mu
de Fabrice Melchiot
Mise en scène de Laetitia Mazzoleni
Avec Thomas Rousselot
Sous forme de chant, Mu offre une partition vibrante sur les quotidiens
de la vie. Véritable odyssée humaine.
Une forêt, un homme. Est-il perdu ? Est-il mort ? Est-il à la recherche de son aimée ? Les arbres de cette forêt seraient-ce des humains, cimetière ? Enterrement ? Une ville ? L'homme nous conte sa vie, sa recherche de Mu. Mais qui est Mu ?
Sous forme de chant, Mu offre une partition vibrante sur les quotidiens
de la vie. Véritable odyssée humaine. L'écriture est magnifique, la mise en scène terriblement parlante, les lumières sont incroyablement vivantes, le comédien est très vrai. On suit son histoire, ses interrogations (qui sont aussi les nôtres). C'est un très beau spectacle où tous les talents se répondent et se rendent indispensables.
Sous forme de chant, Mu offre une partition vibrante sur les quotidiens
de la vie. Véritable odyssée humaine. L'écriture est magnifique, la mise en scène terriblement parlante, les lumières sont incroyablement vivantes, le comédien est très vrai. On suit son histoire, ses interrogations (qui sont aussi les nôtres). C'est un très beau spectacle où tous les talents se répondent et se rendent indispensables.
Geneviève Brissot
26/07/2019
PARIS
Lucernaire
Mise en scène de GÉrard Rauber
Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
L'avis de Yves-Alexandre Julien
Lucernaire
PARIS
"Come Bach" : Un quatuor virtuose qui réinvente les classiques
de Gérard RauberMise en scène de GÉrard Rauber
Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
L'avis de Yves-Alexandre Julien