La danse du diable
de Philippe Caubère
Mise en scène de Philippe Caubère
Avec Philippe Caubère
Dix ans après la fantastique épopée de « L’Homme qui danse » au Sorano, Philippe Caubère retrouve ce théâtre toulousain qui lui est si cher. Dévoré de passions, de doutes, de joies intenses et de colères épiques. Sombre, lumineux, drôle à pleurer. Un océan déchaîné, à lui tout seul, avec une chaise pour radeau.
La danse du Diable c’est l’histoire comique et fantastique, écrite, mise en scène et jouée par Philippe Caubère. Après avoir été improvisée sous la direction de Jean-pierre Tailhade et Clémence Massart en 1980, ce spectacle est toujours plein de fraîcheur, d’onirisme et de vitalité. C’est une performance extraordinaire que nous offre Philippe Caubère dans cette pièce. A lui tout seul, il interprète sa mère, son double imaginaire Ferdinand Faure, des hommes politiques comme De Gaulle, des hommes de lettres, des personnes ordinaires qu’il a croisées sur son chemin, des personnes qui ont compté et ont orienté sa vie, tels que ses professeurs de théâtre.
Sur le plateau, on voit avec fascination se dessiner les silhouettes de tous ces individus ; avec précision il leur donne en corps, une voix, une attitude, une personnalité. Techniquement Philippe Caubère est ahurissant dans ces passages de l’un à l’autre. La manipulation des objets auxquels il se réfère est également réalisée avec une dextérité telle, que l’on les imagine très aisément. Le rythme du spectacle est vif et Caubère réalise une réelle prouesse physique et vocale. Assis sur notre fauteuil, on part immédiatement pour un voyage dans la vie réelle, rêvée, et fantasmée de l’acteur, de Marseille à Paris, de sa vie privée à sa vie professionnelle, on n’en perd pas un instant.
Le comédien livre ces quelques mots : « La Danse du Diable est un spectacle joué par un seul acteur, qui en est l’auteur ; mais ce n’est pas un " one man show ", ni une série de sketches ; c’est une histoire ; comique parce que j’espérais qu’elle fasse rire, fantastique parce que je voudrais qu’elle fasse un peu rêver… » Mission accomplie pour Philippe Caubère !
Sur le plateau, on voit avec fascination se dessiner les silhouettes de tous ces individus ; avec précision il leur donne en corps, une voix, une attitude, une personnalité. Techniquement Philippe Caubère est ahurissant dans ces passages de l’un à l’autre. La manipulation des objets auxquels il se réfère est également réalisée avec une dextérité telle, que l’on les imagine très aisément. Le rythme du spectacle est vif et Caubère réalise une réelle prouesse physique et vocale. Assis sur notre fauteuil, on part immédiatement pour un voyage dans la vie réelle, rêvée, et fantasmée de l’acteur, de Marseille à Paris, de sa vie privée à sa vie professionnelle, on n’en perd pas un instant.
Le comédien livre ces quelques mots : « La Danse du Diable est un spectacle joué par un seul acteur, qui en est l’auteur ; mais ce n’est pas un " one man show ", ni une série de sketches ; c’est une histoire ; comique parce que j’espérais qu’elle fasse rire, fantastique parce que je voudrais qu’elle fasse un peu rêver… » Mission accomplie pour Philippe Caubère !
Aurore Lavidalie
27/10/2015
PARIS
Lucernaire
Mise en scène de GÉrard Rauber
Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
L'avis de Yves-Alexandre Julien
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"Come Bach" : Un quatuor virtuose qui réinvente les classiques
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