Stimule
de Maryne Bernard
Mise en scène de Maryne Bernard
Avec Angelica Ardiot, Noméie Deborde, Mélissa Dilvy, Cloé Freneix, Juliette Vieugeot ou Louise Huruguen
Maryne Bernard nous propose son projet 'Stimule' dans le cadre du festival Danses et Continents Noirs proposé par le Centre James Carlès de Toulouse.
Maryne Bernard, jeune chorégraphe formée au Centre James Carlès, nous dévoile sa nouvelle création "Stimule", sous le regard bienveillant du directeur de l'école. Fondatrice et directrice de la compagnie « m.0 », Maryne Bernard heurte le corps à notre société. « Soumission. Adaptation. Refus. Révolte.» Elle essaie de comprendre...
La féminité ici, ce sont cinq jeunes femmes. Des chevelures, des courbes différentes se meuvent sur un plateau où des projections de lumière jouent à cache cache. Parfois des flashs, des éclairages tamisées ou une obscurité complète. Le tableau est fractale et singulier. A certains moments, la musique ne dit pas le dernier mot et abandonne la danse en cours de route. Ou bien, les mouvements s'obstinent dans le noir. En tout cas, la danse gagne toujours.
Souvent, elles ont le droit à l'individualité. Chacune articule ses gestes de façon hétérogène et la chorégraphie a ce quelque chose de magique quand elle crée un engouement soudain. Quand de la différence des styles, de l'altérité se créé un unisson, une symbiose...
Ce quelque chose de tribal poussé par les décibels de la musique techno, électro, ou même classique. Qui, de près ou de loin, nous renvoie au primitif. Créé par le groupe, peut-être par des langues tirées ou par des mouvements venus du sol. Tout en tension, on en appelle à la vigueur des corps.
Le tableau central est peut-être le plus captivant. Il y a comme une naissance, une renaissance. Un calme au milieu de l'agitation. Presque nue, une des danseuses se retrouve seule sous une douche de lumière dorée. Elle dessine des vagues avec ses muscles, sème le doute avec sa coupe à la garçonne.
Jusqu'à ce que toutes les autres femmes débarquent. Elles écrasent cette juvénilité, vite submergée par le bruit et la férocité des mouvements.
Interprétant des clichés drôles ou tragiques, elle ont fait passé leurs messages. Des repères ou des menaces, en bref ce qui les stimule.
La féminité ici, ce sont cinq jeunes femmes. Des chevelures, des courbes différentes se meuvent sur un plateau où des projections de lumière jouent à cache cache. Parfois des flashs, des éclairages tamisées ou une obscurité complète. Le tableau est fractale et singulier. A certains moments, la musique ne dit pas le dernier mot et abandonne la danse en cours de route. Ou bien, les mouvements s'obstinent dans le noir. En tout cas, la danse gagne toujours.
Souvent, elles ont le droit à l'individualité. Chacune articule ses gestes de façon hétérogène et la chorégraphie a ce quelque chose de magique quand elle crée un engouement soudain. Quand de la différence des styles, de l'altérité se créé un unisson, une symbiose...
Ce quelque chose de tribal poussé par les décibels de la musique techno, électro, ou même classique. Qui, de près ou de loin, nous renvoie au primitif. Créé par le groupe, peut-être par des langues tirées ou par des mouvements venus du sol. Tout en tension, on en appelle à la vigueur des corps.
Le tableau central est peut-être le plus captivant. Il y a comme une naissance, une renaissance. Un calme au milieu de l'agitation. Presque nue, une des danseuses se retrouve seule sous une douche de lumière dorée. Elle dessine des vagues avec ses muscles, sème le doute avec sa coupe à la garçonne.
Jusqu'à ce que toutes les autres femmes débarquent. Elles écrasent cette juvénilité, vite submergée par le bruit et la férocité des mouvements.
Interprétant des clichés drôles ou tragiques, elle ont fait passé leurs messages. Des repères ou des menaces, en bref ce qui les stimule.
Clémentine Picoulet
04/11/2017
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Mise en scène de GÉrard Rauber
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